Montréal, le 11 avril 2019—Les jeunes peuvent vraiment faire leur part pour prévenir le gaspillage alimentaire, que ce soit par de modestes activités à la maison ou par des efforts plus ambitieux qui font appel à l’ensemble de la collectivité, en utilisant la nouvelle Trousse d’action anti-gaspillage alimentaire de la Commission de coopération environnementale (CCE). La prévention du gaspillage alimentaire constitue l’un des moyens les plus faciles pour que nous puissions tous protéger quotidiennement notre environnement, lutter contre les changements climatiques et sauver notre planète. La Trousse d’action est téléchargeable en français, en anglais et en espagnol à l’adresse <www.cec.org/Anti-gaspillageAlimentaire>.
« Nous gaspillons environ le tiers des aliments produits pour la population de la planète. Les jeunes peuvent prendre l’initiative en prévenant ce gaspillage par de petits changements dans leurs habitudes quotidiennes », a déclaré David Donaldson, chef de l’Unité sur la Croissance verte à la CCE.
Inscrivez votre organisme jeunesse avec le mot-clic #AntiGaspillageAlimentaire afin d’organiser des activités visant à réduire ce type de gaspillage. La Trousse suggère plus de 70 activités qui vont de la vérification du gaspillage à la fabrication de vermicompostage.
La responsable du projet de la CCE sur la perte et le gaspillage d’aliments, Gabriela Sánchez, rappelle de son côté que « la prévention du gaspillage alimentaire est bonne pour l’environnement, l’économie et le budget des familles ».
Les activités prévues dans la Trousse d’action anti-gaspillage alimentaire visent les jeunes de l’Amérique du Nord et elles sont réparties en deux groupes : l’un pour les enfants de 5 à 13 ans et l’autre pour les jeunes de 14 à 25 ans. Cette trousse les aidera à connaître ce qui est en jeu et à comprendre les conséquences du gaspillage alimentaire.
L’élaboration de la Trousse d’action a bénéficié du soutien actif de dix associations communautaires de jeunes, d’universités et d’autres établissements d’enseignement, d’organismes caritatifs et de groupes de jeunes autochtones.
Nous mettons les jeunes de l’Amérique du Nord au défi d’utiliser la nouvelle Trousse d’action anti-gaspillage alimentaire de la CCE, car elle stimulera leur imagination et leur permettra d’agir en faveur de l’anti-gaspillage. Cette trousse permettra également aux jeunes de découvrir des dizaines de façons de prévenir le gaspillage alimentaire à la maison, à l’école et au sein de leur collectivité.
Voici trois approches proposées dans la Trousse d’action afin de favoriser le changement :
Les jeunes de l’Amérique du Nord sont en train de se mobiliser et tu peux leur emboîter le pas. Joins-toi au mouvement jeunesse sur le site < www.cec.org/Anti-gaspillageAlimentaire > et participe au débat : #AntiGaspillageAlimentaire.
DES FAITS ET DES CHIFFRES
Cette vidéo a pour objectif d’encourager les jeunes de l’Amérique du nord à réduire le gaspillage alimentaire et à contribuer à sauver notre planète :
Les gouvernements du Canada, du Mexique et des États-Unis ont établi la Commission de coopération environnementale (CCE) en 1994 en vertu de l’Accord nord-américain de coopération dans le domaine de l’environnement, à savoir l’accord parallèle à l’Accord de libre-échange nord-américain en matière d’environnement. Or, depuis 2020 et conformément au nouvel Accord Canada‒États-Unis‒Mexique (ACEUM), elle est désormais régie par l’Accord de coopération environnementale (ACE). La CCE rassemble un éventail d’intervenants issus du grand public, de peuples autochtones, des jeunes, d’organisations non gouvernementales, du milieu universitaire et du domaine des affaires en vue de trouver des solutions qui permettent de protéger l’environnement que partagent les trois pays nord-américains, mais tout en favorisant un développement économique durable au profit des générations actuelles et futures.
La CCE réalise ses activités grâce au soutien financier du gouvernement du Canada, par l'entremise du ministère de l’Environnement et du Changement climatique, du gouvernement du Mexique, par l'entremise du Secretaría de Medio Ambiente y Recursos Naturales (ministère de l'Environnement et des Ressources naturelles), et du gouvernement des États-Unis, par l'entremise de l'Environmental Protection Agency (Agence de protection de l'environnement).